Malcolm X Meets PCVs in Addis Ababa (Ethiopia)
NOTE: Letter in the New York TIMES today — PCVs meet up with Malcolm X in Addis. I have no idea what PCV wrote this letter. Do you?
I am looking forward to the new book on Malcolm X. Not long before he was killed I saw him dining alone at a hotel in Addis Ababa, Ethiopia, where I was in the Peace Corps. I introduced myself and we had a nice chat. He was surprised that I knew who he was and had read his writings in college. Occasionally he scanned the room; his notes from that period indicate he feared assassination and was paranoid about surveillance by the FBI and others. He accepted my invitation to have dinner with a group of Peace Corps Volunteers the next evening.
He drank water but declined food, perhaps because it was served by an Ethiopian servant or, I have read, he feared being poisoned. He spoke eloquently. Some at the table were newly-minted lawyers from Ivy schools who tried to fault his facts or logic, but his debating skills clearly exceeded theirs.
One of his points has stuck with me for 55 years: During this tour of Africa and meetings with numerous African heads of state, most of whom had mostly White Peace Corps and other US personnel doing their bidding, Malcolm had begun to think it possible for Blacks and Whites to work together without conflict and violence. This change of heart may have contributed to his being killed by those who promoted Black/White violence.
Ironically, I was chastised and almost sent back to the US for exposing Peace Corps to potentially embarrassing publicity by having anything to do with a firebrand who was widely thought to be planning race riots.
On the website of the Museum of the Peace Corps Experience, you may read a similar “celebrity contact” in Ethiopia-then, Eritrea-now. Here is the link to read of Cynthia Tse Kimberlin’s “close call” with Chinese premiere Chou Enlai – https://www.museumofthepeacecorpsexperience.org/cpages/tigrinya
Thanks, John, for posting the fascinating Cynthia Tse’s writing. Cynthia and I had some delightful reunions at International Ethiopian Studies Conferences over the years. Did you ever read her article on the “St. Louis Blues March” becoming a nationwide favorite marching tune? Good luck in your fie work with the Museum of the Peace Corps Experience. It was good to see you in Monterey, my last trip for a while.
Il était pas parano il était réellement surveillé par le FBI depuis 1954 qui traquait tous les américains potentiellement communiste… Et évidemment il était en ligne de mire de j.edgard Hoover qui avait traquait durant ses premières missions Marcus Garvey figure emblématique du panafricanisme dont le père de Malcolm x était adepte… Par l’enracinement et l’exaltation de leur identité africaine il était en ligne de mire des corps constitués car l’identité africaine qu’ils exaltaient vivaient à ce moment dans les années 50 des guerres contre le colonialisme occidentale en étant appuyé la plupart par des organismes communistes-socialistes donc des mouvements qui étaient traqués par la CIA et le FBI en pleine guerre froide… Pour rappel la CIA et le FBI qui est une police fédérale était composée uniquement par des blancs il était interdit pour eux de recruter des noirs ou des hispaniques ou des femmes… Ils étaient idéologiquement marqué par la culture wasp puritaine racialiste américaine et profondément anti mouvement progressistes et émancipateurs car selon eux potentiellement infiltré par les communistes… Ils étaient hanté par la révolution bolchevique qui pour eux pouvait prendre forme en Amérique par l’intermédiaire des afros américains et leur idéologie de retour sur la terre africaine et aussi les mouvements étudiants, féministes etc… C’était une société néo conservatrice marqué profondément par les lois jims crow et Malcolm x et son idéologie était perçue par ce système comme potentiellement dangereuse pour l’Amérique blanche car potentiellement infiltré de l’extérieure… Et ça s’est accentué pour lui lors de son voyage en 1959 et surtout avec le programme cointelpro en 1960. Sans parler de l’arrivée de Gamal , Castro à Harlem en 1960 pour le 15e congrès aux nations unies… Là c’était clairement l’establishment qui était visé par l’arrivée de dirigeants dans la capitale des 22 millions afro américains qui est Harlem. Dirigeants qui étaient tous appuyés par l’URSS car le Ghana était directement en lien avec le KGB pour son indépendance, Castro aussi et l’Égypte était en lien avec l’URSS de 1949 à 1975 où après elle bascule sous influence occidentale mais au moment où ces dirigeants arrivent à Harlem et au moment où Castro rencontre Malcolm x dans l’hôtel Theresa de Harlem ils sont sous influences soviétiques à un an de la baie des cochons et deux ans de la crise des missiles. Donc Malcolm x n’était pas paranoïaque il était entièrement réaliste sur le fait d’avoir le FBI sur le dos.